La liberté, force vive déployée

Nos associations Nanterre Poevie et Nanterre en Transition invitent les Nanterriens à écrire un poème sur ce thème oh ! combien essentiel en ces temps de grands troubles.

 Règlement du concours

Il est ouvert un concours gratuit de poésie à Nanterre par l’association Nanterre Poévie et Nanterre en transition sur le thème : Liberté, force vive déployée.

Ce concours est ouvert aux francophones et s’adresse aux adultes, mineurs et enfants de moins 13 ans avec autorisation parentale par Internet)

Ce concours est gratuit. Quatre sections pour concourir :

  • Poésie classique (respectant les règles)
  • Néo-classique (20 lignes au plus)
  • Poésie contemporaine (30 lignes au plus)
  • Haïkus

      Modalités  – Un seul texte par section avec vos coordonnées postales et âge pour les enfants ainsi que la section en haut à droite.

Chaque texte devra être adressé par  courriel Word

Remise des prix  – Les lauréats se verront offrir un prix et seront sollicités pour lire leur texte en public lors de notre soirée du Printemps des Poètes en mars 2026 à l’Agora. Tous les participants du concours et leur entourage y sont cordialement invités.

Important : Chaque lauréat ne pourra obtenir qu’un seul prix.

Avec votre accord écrit, les textes des primés seront publiés sur le site de Nanterre Poévie. Le concourant accepte de fait le présent règlement et aucune réclamation ne sera reçue.

  • Date d’ouverture du concours : Le 6 Octobre 2O25
  • Date de fermeture du concours : Le 31 Janvier 2026

N.B. Les associations Nanterre PoéVie, Nanterre en Transition se réservent le droit d’annuler le concours d’une section en cas de faible participation ou pour toute autre raison

 Texte à adresser à l’adresse ci-après : Courriel : villerme.jeanpaul@neuf.fr

https://nanterrepoevie.blog4ever.com/

« La pensée, le graphite, le clavier sont, en eux-mêmes, un fil poétique, un fil narratif. Qui se déroule, chaque jour, sur la page – intérieure, en cellulose ou virtuelle. Certes, il faut, pour commencer, gratter pour enlever la première couche, le faux blanc ; pour certains, les idées formatées, pour d’autres, la peur et pour beaucoup parmi nous, les deux. Et le fil se déroule, libre. Cette liberté est, c’est une chose bien connue, le propulseur de la vie. Elle en est le cœur battant. En son absence, la vie se fige, elle se brise. Puisque c’est bien à partir du cœur que gèle l’être humain avant sa désagrégation. »

Dérouler donc ce fil libre contre les fabricants d’ombres qui nous enseignent l’emmurement, l’évulsion et le bourdonnement des machines programmées à tourner à plein régime dans l’espace sans fin de la douleur. Contre la langue de bois qui paralyse et le bâillon enfoncé profondément dans la gorge. Contre les amnésies collectives et l’histoire retaillée. Contre les lames rigides des corsets qui meurtrissent les corps et entravent les mouvements. Contre la désolidarisation. Dérouler toujours le fil de la liberté. »