Le plan prévoit près de 120 km d’itinéraires supplémentaires aux 50 km existants, soit un triplement du rythme de réalisation par rapport à ces vingt dernières années. 

Un réseau socle, un partage de l’espace…

Le linéaire cyclable a quadruplé depuis 2000 et couvre aujourd’hui 40 % des routes départementales. L’offre souffre cependant de faiblesses spécifiques aux territoires hyper-urbanisés : discontinuités et coupures, manque d’interconnexion. Le plan vélo veut correspondre à une vision stratégique claire : la réalisation d’un réseau socle, avec des itinéraires longs, continus, sécurisés et interconnectés, qui relieront zones d’habitat d’un côté, gares, collèges, zones d’emploi ou de commerce, quartiers enclavés de l’autre…